Avec cette pièce la réalité n’en finit pas de nous rattraper…
« « Et puis tu sais quoi ? Paraît qu’ils ont des quotas, ces cons-là. Je te parie ce que tu veux ils ont des quotas. Ils se sont dit ‘On prend deux noirs et deux arabes, juste ce qu’il faut, comme ça on nous fera pas chier. Bon, on a déjà nos deux noirs, on prend ce Saïd là, qui est vachement bon et puis un autre, y a qui déjà, t’as la liste là ? Ah ben voilà : Adel, il fera bien notre affaire.’ Tu comprends ? Mais oui, c’est comme ça, je te dis. Tu te serais appelé Abdul, c’est toi qu’ils auraient pris. » Ça l’a fait rire. J’aime bien faire rire mon frère… »