Création au Théâtre de Suresnes Jean Vilar février 2013, reprise au Vingtième Théâtre mars-avril 2013. Prix Beaumarchais du Figaro « meilleur auteur » 2013.
Téléphone portable, internet, textos, e-mails, tchats : la consommation sans modération des nouveaux produits de communication peut être nuisible à la santé.
Six personnages en quête d’amour se rencontrent, se séduisent, s’aiment, se détestent, s’engueulent, se quittent dans une ronde frénétique qui ne tourne pas rond. Impostures, mensonges et manipulations côtoient coups de foudre, sincérité et folles espérances dans des liaisons chaotiques… et dangereuses.
ONLY CONNECT : la presse
Prix Beaumarchais du Figaro : meilleur auteur 2013
Mitch Hooper, qui écrit en français, est un de nos meilleurs auteurs. Chaque pièce est un petit évènement.
Jean-Luc Jeener – FIGAROSCOPE
Une écriture brillante et ciselée qui suscite souvent le rire par des répliques incisives… l’ensemble est véritablement bluffant.
Nicole Bourbon – REG’ARTS
C’est un peu à un remix de La Ronde de Schnitzler que nous convie Mitch Hooper qui fut l’assistant de Pinter.
Jacques Nerson – LE NOUVEL OBSERVATEUR
Un spectacle à la fois drôle, émouvant, pertinent et percutant, porté par d’excellents acteurs.
Cécile Guéret – PSYCHOLOGIES.COM
C’est ironique et plein d’humour et… chaque spectateur entrevoit des émotions refoulées, des espoirs cachés qui le renvoient à sa propre histoire.
Micheline Rousselet – SNES
… se tissent des rapports subtils entre trois hommes et trois femmes, en demande d’amour, qui se prennent, se quittent, se font mal. Et tout prend corps… Daniel Berlioux en psychiatre hypocondriaque, Anatole de Bodinat en amant tout-terrain, Didier Mérigou en timide déchaîné se disputent trois partenaires de rêve : Jade Duviquet, Gaël Rebel, Sophie Vonlanthen, avec leurs rires pleins de larmes…
Jean-Pierre Léonardini – L’HUMANITE
Mitch Hooper saisit des malaises plus profonds, qui tiennent de l’irresponsabilité, de la difficulté à être adulte, d’un désarroi face à une société qui célèbre l’amour et génère l’individualisme. C’est donc passionnant (…) La belle pièce de Mitch Hooper fait parfois penser aux films d’Antonioni et de Christophe Honoré. C’est dire qu’elle est d’une tonalité fondamentalement moderne.
Gilles Costaz – WEBTHEA
Hooper est un auteur qui s’intéresse avant tout à l’être humain, ses blessures, ses contradictions, ses difficultés à s’assumer… Metteur en scène, il sait diriger ses acteurs, les aimer, les guider. Et ils sont, une fois encore, très bons.
Jean-Luc Jeener – FIGAROSCOPE
Les six interprètes sont éblouissants de vérité et de virtuosité. Voilà un spectacle qui touche le spectateur, qui le fait réfléchir. On en sort secoué, ébranlé…
Nicole Bourbon – REG’ARTS
Un labyrinthe vertigineux qui brouille les pistes avant de nous faire retomber sur nos pieds… C’est fin et bien ficelé.
Nedjma van Egmond – THEATRAL MAGAZINE
La création de Mitch Hooper est ambitieuse et ses talents de metteur en scène lui permettent de se sortir de bon nombre de difficultés… C’est astucieux et orchestré avec une belle précision… Lâchez donc vos portables et vos tablettes pour courir les applaudir en vrai.
Dimitri Denorme – PARISCOPE
Les images d’internet et des écrans de portables occupent souvent l’écran placé en fond de scène, mais le spectacle, donné par les comédiens en courtes séquences qui se succèdent et se répondent dans un subtil jeu de construction, est si bien écrit et si concret qu’il n’y a pas de lutte entre le théâtre des acteurs et le théâtre d’images. C’est le théâtre des voix et des corps qui l’emporte. Il faut citer tous les comédiens, remarquables dans un jeu le plus souvent intériorisé : Jade Duviquet, Daniel Berlioux, Gaël Rebel, Anatole de Bodinat, Didier Mérigou et Sophie Vonlanthen. Et espérer qu’Only Connect – qui a obtenu le prix Beaumarchais du meilleur auteur décerné par le Figaro – pourra faire l’objet d’une reprise, tant la pièce est
juste, neuve dans son écriture et sa mise en scène.
Gilles Costaz – AVANT-SCENE